Les Parisiens
Posté : mer. 5 mai 2010 08:09
Rappel : On est dans bla, bloops (le bar)…
.
Mon accent est surement plus proche de celui de Chantal11 que celui de la région parisienne.
A la vue de la tour Eiffel je préfère Peyrepertus ou Queribus.
Et je suis toujours plus ému en revoyant mes Pyrénées qu’en regardant l’Arc de Triomphe.
En travaillant à Paris des Parisiens j’en ai cherché et je dois avouer qu’ils sont rares et beaucoup plus nombreux sur la cote d’Azur.
Ici les amis, les collègues sont plutôt Bretons, Auvergnats, Antillais, etc.
Conclusion : Nous sommes tous des émigrés.
Ce qui est triste c’est de critiquer une personne par rapport à sa région ou autres.
On commence par détester les Parisiens ou les Marseillais, les Basques ou les Corses, ensuite ce sont les Arabes, les Noirs, les Juifs, les Homosexuels, etc.
J’espère qu’un jour ce genre de réaction sera d’une autre époque.
J’ai la fierté d’être Catalan (et de trouver ma région la plus belle du monde) mais ça ne m’empêche pas d’être ouvert aux autres et de leur piquer ce qu’ils ont de mieux pour essayer de devenir meilleur.
.
Mon accent est surement plus proche de celui de Chantal11 que celui de la région parisienne.
A la vue de la tour Eiffel je préfère Peyrepertus ou Queribus.
Et je suis toujours plus ému en revoyant mes Pyrénées qu’en regardant l’Arc de Triomphe.
En travaillant à Paris des Parisiens j’en ai cherché et je dois avouer qu’ils sont rares et beaucoup plus nombreux sur la cote d’Azur.
Ici les amis, les collègues sont plutôt Bretons, Auvergnats, Antillais, etc.
Conclusion : Nous sommes tous des émigrés.
Ce qui est triste c’est de critiquer une personne par rapport à sa région ou autres.
On commence par détester les Parisiens ou les Marseillais, les Basques ou les Corses, ensuite ce sont les Arabes, les Noirs, les Juifs, les Homosexuels, etc.
J’espère qu’un jour ce genre de réaction sera d’une autre époque.
J’ai la fierté d’être Catalan (et de trouver ma région la plus belle du monde) mais ça ne m’empêche pas d’être ouvert aux autres et de leur piquer ce qu’ils ont de mieux pour essayer de devenir meilleur.