Lettre à Norton.
Posté : lun. 12 juil. 2010 18:20
Bonjour,
Je souhaite par pudeur garder l'anonymat.
Tout a commencé par une nuit sombre, le long d'une route solitaire de campagne, alors que je cherchai un raccourci que jamais... oups... Tout a commencé à l'aube des années 2000, lorsque innocent et impatient, j'ai branché ce merveilleux et nouvel (pour moi) accessoire qu'est Internet sur ce non moins merveilleux et nouvel (pour moi toujours) outils qu'est l'ordinateur.
Ma joie fut de courte durée car les quelques 10 jours qui séparent ma prise en main du Fujitsu-Siemens fraîchement acquis et qui reste à jamais dans mon coeur, de l'abonnement France-Télécom et le début effectif de mon internétisation (d'ici 2016 dans vos Larousse) ne m'avaient préparé à ça: les virus informatiques!
Ce n'est qu'après 2 reformatages/réinstallations (je savais faire que comme ça à l'époque) que je suis allé voir mon Maître qui m'a dit: "Hi hi hi! Petit scawabée dont l'inconscience n'égale que la beauté, anti-viwus tu dois mettwe, payants tu dois choisiw, gwatuits pas encowe fiables ils sont mais pwudence tu dois garder avant tout." ce à quoi j'ai illico presto répondu un brin agacé par tant d'évidence: "Ho ho ho! Syntaxe et accent tu dois revoir." et je m'en suis allé au commerce le plus proche pour m'enquérir d'une version du plus bel effet de l'unique marque d'anti-virus disponible: Norton.
Depuis, mon amour pour l'aventure, les rencontres éphémères, les moqueries et conseils de mes proches ainsi que les frissons de plaisir que procurent le goût du risque stimulant m'en ont fait rencontré d'autres et si toutes (permettez-moi cette féminisation) ne m'ont pas déçu, fidèle par essence je suis toujours revenu vers toi même si de tes versions et variantes j'en ai connu des lourdes, des qui se veulent tape-à-l'oeil, des qui se disent omnipotentes, des qui se défendent d'être usine-à-gaz, toutes m'ont mise en gare à temps lorsque je franchissais la ligne blanche, m'ont épargné d'une quelconque grippe et même d'un moindre rhume bénin malgré ma conduite parfois à tombeau ouvert, chemisette déboutonnée jusqu'au nombril, sans écharpe, les nuits pluvieuses sur cette route informatique, glacée, peu ou prou éclairée où je cherche souvent en vain une arrivée qui tarde à venir un peu comme le point final de cette phrase à peine aérée par des virgules dont les nécessités reste à définir.
Oui je sais que d'aucuns, adeptes du copier/coller de tests comparatifs, m'objecteront que tu apparaît que trop rarement dans le top 10 ou me sortiront des légendes urbaine qu'ils tiennent du courrier des lecteurs d'un quelconque torchon ou me raconteront une histoire personnelle d'un jour où ils conduisaient sans casque et ivres. Mais peu importe car à ce jour le disque des curés qui aplanissent voire bulldozérisent des airs célèbres figure encore dans le Top 10 des albums qui se vendent le plus, preuve s'il en est que le plus grand nombre, tel des moutons de Panurge, se trompe souvent et ce même sans lire le courrier des lecteurs tout en portant un casque et en buvant de l'eau claire.
Alors comme le mien est déjà sous contrat, saches que le double-coeur de mon Asus est à toi pour longtemps encore...
Juste une petite humeur pour dire que depuis 3 ans Norton a vaincu ses diables et qu'il serait bon d'en reparler davantage car il me semble être un peu oublié ici et là...
Je souhaite par pudeur garder l'anonymat.
Tout a commencé par une nuit sombre, le long d'une route solitaire de campagne, alors que je cherchai un raccourci que jamais... oups... Tout a commencé à l'aube des années 2000, lorsque innocent et impatient, j'ai branché ce merveilleux et nouvel (pour moi) accessoire qu'est Internet sur ce non moins merveilleux et nouvel (pour moi toujours) outils qu'est l'ordinateur.
Ma joie fut de courte durée car les quelques 10 jours qui séparent ma prise en main du Fujitsu-Siemens fraîchement acquis et qui reste à jamais dans mon coeur, de l'abonnement France-Télécom et le début effectif de mon internétisation (d'ici 2016 dans vos Larousse) ne m'avaient préparé à ça: les virus informatiques!
Ce n'est qu'après 2 reformatages/réinstallations (je savais faire que comme ça à l'époque) que je suis allé voir mon Maître qui m'a dit: "Hi hi hi! Petit scawabée dont l'inconscience n'égale que la beauté, anti-viwus tu dois mettwe, payants tu dois choisiw, gwatuits pas encowe fiables ils sont mais pwudence tu dois garder avant tout." ce à quoi j'ai illico presto répondu un brin agacé par tant d'évidence: "Ho ho ho! Syntaxe et accent tu dois revoir." et je m'en suis allé au commerce le plus proche pour m'enquérir d'une version du plus bel effet de l'unique marque d'anti-virus disponible: Norton.
Depuis, mon amour pour l'aventure, les rencontres éphémères, les moqueries et conseils de mes proches ainsi que les frissons de plaisir que procurent le goût du risque stimulant m'en ont fait rencontré d'autres et si toutes (permettez-moi cette féminisation) ne m'ont pas déçu, fidèle par essence je suis toujours revenu vers toi même si de tes versions et variantes j'en ai connu des lourdes, des qui se veulent tape-à-l'oeil, des qui se disent omnipotentes, des qui se défendent d'être usine-à-gaz, toutes m'ont mise en gare à temps lorsque je franchissais la ligne blanche, m'ont épargné d'une quelconque grippe et même d'un moindre rhume bénin malgré ma conduite parfois à tombeau ouvert, chemisette déboutonnée jusqu'au nombril, sans écharpe, les nuits pluvieuses sur cette route informatique, glacée, peu ou prou éclairée où je cherche souvent en vain une arrivée qui tarde à venir un peu comme le point final de cette phrase à peine aérée par des virgules dont les nécessités reste à définir.
Oui je sais que d'aucuns, adeptes du copier/coller de tests comparatifs, m'objecteront que tu apparaît que trop rarement dans le top 10 ou me sortiront des légendes urbaine qu'ils tiennent du courrier des lecteurs d'un quelconque torchon ou me raconteront une histoire personnelle d'un jour où ils conduisaient sans casque et ivres. Mais peu importe car à ce jour le disque des curés qui aplanissent voire bulldozérisent des airs célèbres figure encore dans le Top 10 des albums qui se vendent le plus, preuve s'il en est que le plus grand nombre, tel des moutons de Panurge, se trompe souvent et ce même sans lire le courrier des lecteurs tout en portant un casque et en buvant de l'eau claire.
Alors comme le mien est déjà sous contrat, saches que le double-coeur de mon Asus est à toi pour longtemps encore...
Juste une petite humeur pour dire que depuis 3 ans Norton a vaincu ses diables et qu'il serait bon d'en reparler davantage car il me semble être un peu oublié ici et là...