Re: Problème Skydrive
Posté : mer. 16 févr. 2011 18:16
Salut Patricia,
C'est parce que j'aime tes poèmes qui parfois me font penser à Baudelaire (ce n'est pas rien
) que je me suis permis de plaisanter.
Ce matin en me levant j'ai lu "Îlot de certitudes"
Si les gens lisaient de la poésie on vendrait moins d' antidépresseurs.
Pour la question des MP je t'ai déjà écrits que je ne communiquais avec personne sur les forums.
C'est pas une question harcèlement mais ma vie privé vaut de l'Or.
::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici,
Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;
Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
Charles Baudelaire
(Je connais cette poésie par cœur depuis l'age de 14 ans )
C'est parce que j'aime tes poèmes qui parfois me font penser à Baudelaire (ce n'est pas rien
) que je me suis permis de plaisanter.Ce matin en me levant j'ai lu "Îlot de certitudes"
Si les gens lisaient de la poésie on vendrait moins d' antidépresseurs.
Pour la question des MP je t'ai déjà écrits que je ne communiquais avec personne sur les forums.
C'est pas une question harcèlement mais ma vie privé vaut de l'Or.
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Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici,
Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;
Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
Charles Baudelaire
(Je connais cette poésie par cœur depuis l'age de 14 ans
)