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Re: Les Windows

Posté : ven. 1 juil. 2016 16:52
par mwonex
Salut txuku,

Comme toi je voulais... (pas être hôtesse de l'air ;) )..
mais j'ai toujours le vieux moulin à café "électrique" sans sécurité de mon grand père, ça tourne même si on retire le couvercle ça moud les grains de Monsieur J.V. et les autres, ça pile même les glaçons, j'y tiens, autant qu'au lampadaire style 1900 en verre bour(soufflé) qui donne un joli dépoli aux affreuses lampes à économies d'énergie type tortillon ou trombone.

Je n'ai pas pu garder la TSF à lampes à filaments quoi, belle comme un camion, elle servait d'ampli au tourne disque pour écouter Brassens (les électrophones étaient trop chers, mais ça revient)

Je n'ai plus mon meccano et suis trop vieux pour le leggo... mais j'ai fait fonctionner une machine à vapeur à alcool avec un réservoir d'eau et une bielle enfin tout ça...Même il y avait un sifflet le must.
C’était le bon temps :lol:

Je garde de temps en temps des bouts d'appareils (moteurs à pile) en me disant que je pourrai m'en servir pour je ne sais pas, un mobile lumineux sympa, on pouvait rêver, c'est le plus important.

Bon je jette tout ça mais il faut garder les rêves, quitte à être hors sujet :hein:

Moi ça va mieux aussi :D

Re: Les Windows

Posté : sam. 2 juil. 2016 02:11
par PatriciaG
Bonjour,

Les grandes entreprises ont une stratégie commerciale agressive, mais c'est un monde concurrentiel et il est difficile d'agir autrement.
J'ai fait une partie importante de ma carrière informatique chez IBM, c'est donc un sujet que je connais bien.

La technologie n'est pas incompatible avec les rêves et ce sujet a très fortement dérivé parmi les méandres de vos esprits.

Je vous livre ci-dessous un fragment des miens, hors-sujet, mais pas plus que les messages précédents.
D'avance pardon à Chantal. :?
Il rêvait - Poème de Patricia Guenot

Il rêvait d’éléphants minuscules et de fourmis géantes,
De diplomates honnêtes, de riches ouvriers,
De parler japonais, de maisons en papier,
De médecins offrant des bonbons à la menthe.

Il rêvait de luxe économique, de calme gymnastique,
De lions tendres et galants, de soldats non violents,
D’étoiles paresseuses, d’un vaste océan blanc,
De déesses antiques et de gentils moustiques.

Il rêvait d’un ami bienveillant, de brioches dorées,
De frontières abolies, de vive fantaisie et de désobéir.
Il rêvait de chaleur éternelle, de délicieux plaisirs,
D’amour rayonnant, de fleurs, de parfums, de joies partagées

Ses rêves sont vivants dans le creux de ses mains.
Il les montre aujourd’hui dans les tableaux qu’il peint.

Il invente le monde.
@+